Union Féminine Civique et Sociale, 1999-2006 (ufcs.org)
"Risquer ma vie", la sécurité en deux-roues moteur : Engagée depuis 30 ans dans la sécurité routière, l'UFCS, en partenariat avec la MAE , Mutuelle Accident Élèves, et avec la participation du Ministère des Transports et de la Sécurité Routière , a réalisé une exposition « Risquer ma vie ? » destinée à sensibiliser les jeunes aux risques encourus en cyclomoteur. Huit panneaux exposent les consignes et précautions incontournables : ne pas trafiquer son deux-roues, bien choisir son casque et la tenue homologuée, respecter son contrat d'assurance, rouler réglo, anticiper et réagir, ne jamais rouler sous l'emprise de cannabis, d'alcool… Un guide pédagogique destiné aux animateurs et aux professeurs commente l'exposition pour faciliter leur rôle d'éducateur à la route et à la sécurité routière. Accéder au communiqué de presse Emprunter avec un risque aggravé de santé ! L'UFCS prend acte des avancées contenues dans le projet de nouvelle convention sur l’accès à l’assurance des personnes présentant un risque de santé aggravé, dite Convention AERAS (s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé), suite à la dernière réunion de négociation avec les représentants des professionnels des assurances et des établissements de crédit qui s’est tenue le vendredi 23 juin sous l’égide des ministres des Finances et de la Santé. Les avancées obtenues laissent envisager que la nouvelle Convention AERAS rendra plus large et aisé l’accès à l’assurance et donc au prêt pour les personnes qui en sont aujourd’hui exclues. Toutefois et en préalable, l'UFCS rappelle que la signature de cette convention est soumise à l’encadrement normatif de celle-ci, par amendement au Code de la Santé publique, de façon à en inscrire dans la loi les principes généraux qui se verront ainsi conférer le poids nécessaire à leur respect par tous. Accéder au communiqué de presse ELECTIONS MUNICIPALES 2008 : l ’UFCS S’ENGAGE ! 30/06/2006 Depuis 1925, l’Union Féminine Civique et Sociale s’est donnée pour mission, dans le respect du pluralisme et des convictions de chacune, de soutenir les femmes dans leur désir légitime de prendre des responsabilités au niveau social ou politique. Et depuis 1945, premières élections municipales ouvertes aux femmes, l’UFCS appuie les femmes qui souhaitent s’investir dans la vie de leur commune en leur apportant une formation spécifique. C’est pourquoi, fidèle à sa vocation, l’UFCS s’attache dès à présent à pouvoir, en temps utile, offrir aux futures candidates de les accompagner dans leur projet. Elle leur proposera une formation adaptée qui les aidera à imposer la légitimité de leur candidature et à mettre en valeur leurs compétences dans un esprit de dialogue et de solidarité.
L’opinion publique est aujourd’hui globalement favorable à la parité. La démocratie, sur laquelle reposent nos institutions, ne pourra en effet être véritable que si hommes et femmes qui composent à parts égales notre société, concourent ensemble et paritairement à son exercice. La CSC demande une plus grande fiabilité des alarmes de piscines par immersion 04/07/2006 La Commission de la sécurité des consommateurs, impliquée depuis plusieurs années dans la prévention des noyades de jeunes enfants en bassins privés, a rendu le 15 juin dernier un avis sur ces produits. Après avoir testé un modèle d'alarme en laboratoire, la Commission a constaté qu'il n'était pas conforme aux prescriptions de la norme sur ces dispositifs. La norme NF P 90-307-A1 sur la détection des chutes de corps dans l'eau présente en outre des lacunes que la CSC souhaite voir comblées rapidement sur les points suivants : La Commission incite également les pouvoirs publics à mettre en cohérence la législation sur la protection des piscines privées pour qu'à l'avenir seuls les produits normalisés soient acceptés comme conformes aux exigences de la réglementation. L'UFCS réclame l'interdiction de la distribution de contrats avant-obsèques par les banques 15/06/2006 L’UFCS a intenté une action pour faire annuler les contrats avant-obsèques proposés par les banques à leurs clients, celles-ci n'étant pas en mesure de leur fournir toute l’information nécessaire sur le déroulement de leurs obsèques. En effet, ce type d’information requiert des compétences dont seuls disposent les opérateurs funéraires, les agents des banques n’étant pas formés.
Ce mode de distribution constitue selon nous une aubaine à la fois pour ces banques qui peuvent ainsi élargir leur clientèle à moindres frais, et pour le groupement professionnel d’opérateurs funéraires lié à ces banques, qui dispose alors de clients captifs. Une telle pratique va à l’encontre de la réglementation sur opérations funéraires, en outre, les personnes intéressées par la souscription de ces contrats sont obligées d’ouvrir un compte auprès des banques concernées ; il y a manifestement une vente liée. Par ailleurs, ces contrats contiennent de nombreuses clauses abusives. Ces arguments ont été développés par l’UFCS devant le tribunal de grande instance lors de l’audience de plaidoirie du 6 juin dernier ; le délibéré est fixé au 9 octobre prochain. Pour renforcer la protection des consommateurs, l’UFCS demande qu’il soit interdit à d’autres professionnels que les opérateurs funéraires de distribuer ce type de contrats, qui touchent intimement au respect et à la dignité de la personne humaine. 17/05/2006
Pas de "class action" mais une action de groupe raisonnée et raisonnable 06/04/2006 L'UFCS a exprimé sa position : 2ème Agora de l'Egalité des chances entre les femmes et les hommes 05/04/2006 L'UFCS participe à la 2ème Agora de l'Egalité des chances entre les femmes et les hommes, vendredi 7 avril, à Paris.
03/04/2006 Jusqu'à présent, pour obtenir un renseignement téléphonique, vous composiez le 12, le 3200, le 3211, le 3912... Afin d'ouvrir les services de renseignements à la concurrence et donc offrir plus de choix aux consommateurs, les Renseignements ne pourront plus être obtenus qu'en pianotant sur votre clavier de téléphone, le "118" suivi de trois chiffres - chaque numéro correspondant à un opérateur différent. Consommateurs, soyez prudents : ces services téléphoniques sont presque tous payants, l'information tarifaire est rarement présentée... et attention à la variation des coûts, selon que vous appeliez d'un fixe ou d'un mobile ! L'UFCS lance un appel à témoignages auprès de ses internautes : les services des 118XYZ vous satisfont-ils ?
14/03/2006 L'Union Féminine Civique et Sociale soutient l'application pleine et entière des traités de l'Union Européenne et de la Charte des droits fondamentaux qui se traduisent par la « stratégie de Lisbonne » : égalité des salaires, égal accès à tous les postes de décision. Elle vient d'envoyer un courrier dans ce sens au Président de la République en réponse à sa lettre du 9 février signée conjointement avec les premiers ministres suédois, danois, espagnol, finlandais et tchèque. L'objectif annoncé de vouloir « réduire » les écarts entre les femmes et les hommes en matière d'emploi et de protection sociale est tout à fait louable, mais insuffisant. Ces écarts doivent être éliminés. Conciliation vie professionnelle / vie familiale L'UFCS milite particulièrement pour que la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale soit une réalité et que des congés parentaux attractifs pour les deux parents soient mis en place (on sait aujourd'hui que le travail des femmes enrichit l'économie !).
Par conséquent, l'UFCS demande que les moyens nécessaires à la réalisation de ce Pacte Européen soient dégagés et suivra de près l'évolution de cette proposition. En espérant fortement que les résultats seront à la hauteur des attentes des femmes…et des hommes ! 10/03/2006 La recrudescence des labels non officiels se rapprochant du « Développement durable » brouille la visibilité des démarches officielles et induit les consommateurs en erreur. Afin de rétablir la transparence, la Coordination des associations de consommateurs, dont l'UFCS fait partie, a mené une étude pour déterminer les critères d'application des signalétiques, et ainsi prévenir les abus. Les premiers éléments de l'étude montrent que les labels volontaires (non délivrés par les pouvoirs publics) sont trop nombreux. Les certifications sont facultatives et les organismes certificateurs ne sont pas forcément agréés par l'Etat. "A aucun prix, la notion de Développement durable ne doit être dépréciée par des utilisations à tort et à travers", commente M.-B. Vignon, responsable Consommation à l'UFCS. 10/03/2006 Le congé donné par le propriétaire concerne les logements du secteur libre en loi de 1989*, loués nus (non meublés) par un bailleur physique. Il n'y a que trois motifs possibles : le congé pour vendre, la reprise du bien pour l'habiter ou un troisième motif, dit "légitime et sérieux". Si le bailleur a choisi de mettre en vente son logement, il doit obligatoirement faire une offre de vente au locataire occupant les lieux...
* hors HLM, loi de 1948, résidences secondaires, logement de fonction 09/03/2006 C'est sous le slogan "Fini de rêver, (ré)agissons pour l'égalité" que l'UFCS entend développer son action en faveur de l'égalité et appeler chacun à réagir... Autour de "En marche vers l'égalité", hybride du jeu de l'Oie et du Trivial Pursuit, conçu et testé par l'UFCS, le public est amené à se questionner sur ses propres représentations de la femme et de l'homme dans la société. 3 heures d'intéractivité encadrées par les animatrices UFCS, durant lesquelles on réalise qu'entre les textes de loi et la réalité, il reste du chemin à parcourir... Pour déployer ce programme de sensibilisation à l'égalité et à la mixité sur tout le territoire, les équipes recrutent 100 nouveaux bénévoles... Objectif : si les 14 équipes mobilisées sur cette action renforcent leurs rangs, 10 000 personnes pourraient être touchées par le programme. Si vous êtes intéressées, rejoignez l'UFCS !
30/01/2006 27/01/2006 Les associations familiales et de consommateurs Familles rurales, l'UFC-Que choisir, l'UFCS et l'Unaf demandent la mise en place du Service Bancaire Universel... Le 30 janvier prochain doit se tenir la réunion plénière du Comité Consultatif du Secteur Financier (CCSF) qui examine une nouvelle fois en présence des Ministres de l'Economie et de la Cohésion sociale, la question de l'accès à un compte en banque et aux moyens de paiement. Les associations demandent qu'à cette occasion des propositions concrètes visant à mettre en place un Service Bancaire Universel soient faites. Quatre mois après l'annonce du Premier Ministre, le principe de SBU n'a pas encore été acté. Pourtant, le diagnostic de la situation et des problèmes est clair. Le dernier CCSF faisait apparaître un large consensus autour de 3 points : Des millions de personnes sont privées de compte bancaire et de moyens de paiement. Concernant la procédure du droit au compte et du service bancaire de base, les deux Ministres reconnaissent que les campagnes de communication et les mesures adoptées dans le cadre du plan d'action (lettres de refus / orientation vers le droit au compte) n'ont pas permis de faire progresser l'exercice du droit au compte. Le Ministre de l'Economie – déclarant lui-même que le nombre d'ouvertures de droit au compte n'était pas à la hauteur du problème – a exhorté les banques à faire très vite des propositions concrètes pour régler le problème (depuis 2001, 100.000 personnes ont bénéficié du Service Bancaire de Base (SBB) alors qu'on estime à plusieurs millions le nombre d'exclus bancaires). Il ne s'agit donc pas d'un problème d'information mais d'organisation de l'accès au dispositif. Quant à l'opportunité d'un Service Bancaire Universel, 8 membres du CCSF sur 13 affirment qu'il y a « au-delà de l'actuel SBB, nécessité d'un service universel dit d'intérêt général », c'est précisément ce que serait le SBU, ouvert à tous. Malgré cela, aucune avancée significative sur ce dossier n'a été réalisée. Pourtant, il est urgent d'agir contre l'exclusion de manière efficace ! Les associations signataires demandent aux Ministres de prendre position pour un Service Bancaire Universel, accessible directement, sans condition de ressources, et gratuitement. L'histoire des femmes de l'UFCS racontée 20/12/2005
20/12/2005 24 novembre dernier : l'UFCS fêtait 80 ans d'actions en faveur de la reconnaissance du rôle des femmes dans la vie sociale et civique, à l'Hôtel de Ville de Paris. Elle profitait de l'occasion pour rendre officiellement hommage à Ingrid Betancourt, otage des FARC en Colombie. Sa mère et sa fille étaient présentes et ont témoigné de leur insupportable attente. La chorale de la Mairie a entonné la chanson « Dans la jungle », en présence de son auteur, le chanteur Renaud. C'était le point de départ de l'action-pétition en faveur d'Ingrid et de tous les otages en Colombie. Tout au long du mois de décembre, les équipes locales se sont mobilisées pour relayer les feuilles-pétitions et organiser des sessions de signatures. A Amiens, Rouen, Poitiers et Le Puy-en-Velay notamment, beaucoup de signatures ont ainsi pu être collectées. Les bénévoles de l'UFCS, ceux du comité de soutien d'Ingrid Betancourt, les maires et leurs équipes municipales ont permis aux citoyens d'exprimer leur solidarité et de pétitionner tous ensemble. « Agir pour une femme exceptionnelle, facile ! »
Suite à un récent rapport du Haut Conseil pour l’Avenir de l’Assurance Maladie de juillet, une enquête est menée par l'administration compétente, afin d’évaluer l’effectivité des pratiques inacceptables de certains professionnels qui demanderaient des « suppléments d’honoraires », par exemple avant une intervention chirurgicale. Si vous avez été confronté à une demande de paiements de suppléments d’honoraires, merci de contacter Stéphane Lavergne au 01 40 56 01 49 ou le standard de l'UFCS : 01 44 54 50 54." L'UFCS participe à une grande enquête sur les labels du développement durable. Aidez-nousà lister logos, labels et allégations en faveur de l'environnement, de l'éthique, du commerce équitable, du développement durable... A la suite d'un problème de santé, vous avez souhaité souscrire un prêt ou une assurance, et votre banque (ou votre assureur) vous l'a refusé ? A cette occasion, ils vous ont parlé de la Convention Belorgey ? Votre témoignage nous intéresse. Contactez-nous en précisant vos coordonnées ou par téléphone au 01 44 54 50 54 (mardi 9h30-12h30 et jeudi 10h-14h).
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